Et voilà en trouvant ces différentes machines vous avez appris bien plus que vous l’auriez pensé sur les projets technologiques de ces dernières années : La machine à prévoir, la machine à gérer certains services, la machine à jouer, la machine à suppléer un sens manquant, voire encore la machine à calculer, ou tout simplement ces machines à gouverner. Ce sont toutes des inventions reposant sur des mathématiques complexes en pleine enfance.
Mais celles-ci attestent déjà d’une supériorité du cerveau de l’homme. On constate aujourd’hui que c’est de plus en plus à l’homme de s’adapter à la machine alors qu’avant c’était l’inverse. Tout ceci fait partie de la Révolution cybernétique qui consiste en l’invention d’un certain nombre de machines capables de corriger elles-mêmes leurs propres erreurs notamment par leurs réseaux connectés entre elles.
Les machines sont donc capables de faire des choses de plus en plus compliquées avec un besoin de moins en moins important de l’homme.
Comme le disait P.Dubarle : “Toutes ces machines ont un caractère commun. […] Disons que ce sont des machines à élaborer et à rassembler de l’information en vue de résultats qui peuvent être aussi bien des résultats de décision que des résultats de connaissance” et “ il faut rapprocher d’autres machines dont la construction se montre tantôt déjà possible, tantôt réalisable à plus ou moins bref délai.”

Sources : "Vers la machine à gouverner…" par P.Dubarle et "La machine à gouverner. Une dystopie à la naissance" de l’informatique de Mathieu Triclot

Cette expérience a été créee par Mélany Charlec en classe de DN MADE 1.

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